Laurent Louis à propos de la perte de son ami Sébastien Courtoy (21/02/2023)

Source : https://www.facebook.com/laurent.louis.mld 
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En complément, voir l’article sur le blog Nouvelle Genèse :

Hommage aux résistants belges à l’agenda talmudo-mondialiste

Laurent Louis, le 21 février 2023

Aujourd’hui, je n’apprends pas la disparition de mon avocat. Non, aujourd’hui, je souffre de la perte de ce que Sébastien Courtoy était devenu au fil de nos aventures judiciaires communes : un ami, un vrai ami qui savait être là quand j’avais besoin de lui et qui s’est toujours battu pour moi et pour ma famille comme s’il se battait pour les siens ou pour sa propre vie, chose tellement rare non seulement dans notre société égoïste et individualiste mais plus encore dans le monde médiatique et juridique.

Tu étais pour moi l’homme des mots, des mots que tu maniais à merveille et il est vraiment difficile, même si je sais que tu aimais mon style – d’exprimer toute la tristesse que j’éprouve en apprenant ta disparition.

Ce sont toujours les meilleurs qui partent les premiers. C’est cette phrase d’une affligeante banalité – et donc loin d’être à la hauteur de la personne exceptionnelle que tu étais – qui me vient à l’esprit. Après mes parents partis tellement tôt, presqu’au même âge que toi d’ailleurs, c’est à ton tour de m’abandonner et de rendre orphelins tous les défenseurs de la vérité, toutes les victimes du système, tous les adversaires de la « bien-pensance », tous les « affreux » comme ils disent, des affreux qui, sans toi, auraient été livrés à la vindicte pseudo judiciaire que tu combattais tant.

Jamais je n’ai admiré qui que ce soit dans ma vie, du moins, avant de te rencontrer, de te connaître et de partager avec toi des moments incroyables que nous nous remémorions souvent quand la vie nous en donnait l’occasion. Ensemble, nous avons toujours gagné, seuls contre tous, seuls contre la presse, seuls contre le Parquet, seuls contre aussi parfois l’opinion publique orientée contre ceux que le système nomme les complotistes, voire les antisémites, quand il ne reste plus rien d’autre à trouver… Qu’est-ce qu’on a pris du plaisir toi et moi à se moquer, au cours d’audiences épiques, toujours avec respect apparent, de ce système qui nous prenait de haut !

Sébastien, tu donnais à la justice et au métier d’avocat ses lettres de noblesse. Contrairement aux « crevards » comme tu les qualifiais qui ne voient en leurs clients que quelques billets, tu prenais fait et cause pour ceux que tu défendais, tu t’identifiais à eux et tu faisais corps avec eux, jusqu’à même devenir leur bouclier. Chaque procès était donc un combat pour toi, un combat qu’il fallait gagner à tout prix, souvent au prix de ta propre vie tant tu ne lésinais pas sur le travail, tant tu passais des heures à étudier les dossiers, à préparer tes plaidoiries et à te tuer à la tâche pour sauver la peau de ceux qui devenaient en général des amis.

Tu es et restera le seul homme que j’admire car tu étais un homme courageux, un homme qui n’avait peur de rien ni de personne, un homme qui se moquait bien du qu’en-dira-t-on, ou plutôt qui s’en nourrissait et s’en renforçait.

J’espère que là où tu es tu pourras trouver du réconfort, si seulement tu pouvais trouver ton petit paradis, entre 2 cocotiers avec quelques jolies filles à tes côtés, c’est tout ce que je te souhaite mon ami.

A regret, je constate, car tu es bien loin de te résumer à ces quelques lignes que la presse reprend aujourd’hui pour annoncer la plus triste de tes « gesticulations » ou « effets de manche », comme diraient ces journalistes qui te détestaient, confrontés qu’ils étaient au talent exceptionnel dont tu disposais et qui devait, sans aucun doute, attiser chez eux de la jalousie tout en les confrontant à leur propre médiocrité, on retiendra de toi que tu fus l’avocat de l’ancien ignoble député fédéral comme ils se plaisent à me décrire.

Moi, à côté des repas partagés au Lunch Garden de Waterloo, à côté des frites et hamburgers que nous dévorions après des audiences souvent épique et toujours épuisantes, je retiendrai de toi ce dernier combat que nous avons mené ensemble, dans une matière où personne, dans le milieu juridique, dans la presse ou au Barreau de Bruxelles n’aurait imaginé te voir : l’adoption de ma fille Racha. Mais qu’est-ce qui a donc poussé le ténor des Cours d’Assises, le plus célèbre des pénalistes bruxellois, à s’occuper de l’adoption d’une petite fille handicapée et de se plonger dans une matière qu’il ne connaissait pas ? L’amour et la justice, tout simplement tant tu débordais du premier et te battais pour la seconde. Tu t’es battu pour cette adoption comme le père que tu étais se battait pour son fils qui pourra à jamais être fier d’avoir eu un héros comme papa, même si je sais à quel point il est douloureux et difficile d’accepter et de surmonter la disparition d’un de ses parents.

Tu me manqueras à jamais Sébastien et jamais je ne t’oublierai, jamais notre famille ne t’oubliera car tu as tant fait pour elle.

Aujourd’hui, c’est plus qu’un ami que je perds, c’est mon monde qui s’écroule et c’est la tristesse qui s’abat sur moi.

Ciao l’artiste, puisse la mort te conduire au pays des merveilles pour que tu y reposes en paix…

Laurent Louis, le 21 février 2023

Source : https://www.facebook.com/laurent.louis.mld/posts/pfbid02K834TW8BrAbcMFiEgMN1hncWwzxzp5F8h9mybPQ7c78MRTDuRG1hp7wTczSA5fwfl

Consulter les analyses du blog Nouvelle Genèse :

Auteur : AbbyEve

La source de tous les problèmes dans ce monde (covidisme, corruption et crises mondiales) : ce sont les Esprits de Négation, la définition scientifique du DIABLE. La solution (et la destination) c'est le paradigme de l'Univers TOTAL, l'Univers-DIEU. La loi Universelle de l'Amour TOTAL est nommée XERY, et c'est aussi un nouveau langage mathématique (X=Y).

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